Au moment où il est question de nommer un responsable définitif à la
tête de l’Archevêché de Yaoundé, l’Administrateur apostolique de
l’Archevêché de Yaoundé, Monseigneur Jean-Mbarga, evêque d’ebolowa, a
bien des soucis. En pratique, ordinaire des lieux depuis plus d’un an,
c’est à lui que devrait échoir ce strapontin âprement convoité et qui
fait actuellement couler beaucoup d’encre et de salive.
On a tantôt évoqué le nom de Monseigneur Joseph Kleda, Archevêque de Douala pour assurer cette charge d’Archevêque métropolitain. Pour l’heure, Monseigneur Jean Mbarga qui répond de cet archevêché, hérite d’un lourd passif auprès des banques et autres débiteurs que lui a légué son prédécesseur Monseigneur Victor Tonyé bakot, originaire du Nyong et Kelle dans le Centre, devenu Archevêque métropolitain de Yaoundé en 2003, il renonce à sa charge le 28 juillet 2014. Il est le successeur de Monseigneur André Wouking, originaire de Foto dans la Menoua à l’Ouest, décédé en 2002 qui avait succédé à Monseigneur Jean Zoa, originaire de la lekié, région du Centre.
Monseigneur Victor Tonyé bakot qui vient de rentrer d’europe où il serait allé rencontrer quelques relations à l’effet de dit-on, profiter pour crier son infortune et faire cas auprès de ces soutiens, les persécutions dont il semble faire actuellement l’objet, pourrait-il se soustraire à la Justice ? Dans certains milieux, on pérore sur les prochains ennuis judiciaires de l’ancien Archevêque métropolitain de Yaoundé dont on dit qu’il aurait placé des fonds quelque part dans un « paradis » fiscal insoupçonné, dit-on, la Mauritanie.
Info ou intox ?
Selon certaines sources, la cause du Prélat aurait déjà entendue s’il n’avait été qu’un simple laïc, justiciable comme les autres, Inspecteurs principaux des Impôts (Polycarpe Abah Abah,) Ingénieurs de Génie Civil (Alphonse Siyam Siwé), les administrateurs civils principaux, les hommes de loi (Me lydienne Yen eyoum), et autres anciens administrateurs et directeurs généraux des entreprises publiques (Yves Michel Fotso, Ngamo Hamani) qui, intéressés par les institutions judiciaires, sont passés par la case prison.
Installé à la tête de l’Archidiocèse de Yaoundé contre l’avis des autochtones, semble-t-il, Victor Tonyé bakot aurait été coopté par l’Archiduc de Ngompem, louis Yinda, membre titulaire élu du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), inamovible directeur général de la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), très influent au Palais de l’Unité de par ses attaches au niveau du Saint Siège d’où il a reçu la reconnaissance de Jean-Paul II, récemment canonisé. A son avènement à la tête de l’Archevêché, beaucoup d’espoirs avaient été placés en lui.
Très rapidement, selon des sources documentaires, la situation financière au sein de l’archevêché qui avait entretemps fini par exaspérer le Vatican et dont ses prélats avaient fini par avoir mauvaise presse était devenue très critique tant et si bien que 5 ans plus tard, elle accusait un endettement de quelque 6 milliards de F Cfa. Etoudi avait dû voler au secours du Prélat pour annuler une dette de 500 millions de F Cfa contractée par l’Archidiocèse auprès de la Société nationale des hydrocarbures (Snh) que dirige Adolphe Fridolin Moudiki elamè.
En dépit de cette mansuétude gouvernementale, la trésorerie de l’Archevêché a continué à piquer du nez, et il avait alors été contraint de placer certains de ses biens immobiliers sous régime d’hypothèque à hauteur d’1,5 milliard de f Cfa. Mais la gabegie n’avait pour autant pas pris fin.
La plus criarde aura été la construction des deux clochers de la Cathédrale Notre Dame des Victoires de Yaoundé d’un coût global de 191 millions de F Cfa. Des mesures jugées alors impopulaires prises par Victor Tonyé bakot, et sa confiance unique en des personnes de sa tribu avaient été vertement critiquées, à l’instar de sa décision de faire payer un loyer aux principaux établissements secondaires de Yaoundé. Le denier du culte était passé de 6000 à 12.000 F Cfa
On a tantôt évoqué le nom de Monseigneur Joseph Kleda, Archevêque de Douala pour assurer cette charge d’Archevêque métropolitain. Pour l’heure, Monseigneur Jean Mbarga qui répond de cet archevêché, hérite d’un lourd passif auprès des banques et autres débiteurs que lui a légué son prédécesseur Monseigneur Victor Tonyé bakot, originaire du Nyong et Kelle dans le Centre, devenu Archevêque métropolitain de Yaoundé en 2003, il renonce à sa charge le 28 juillet 2014. Il est le successeur de Monseigneur André Wouking, originaire de Foto dans la Menoua à l’Ouest, décédé en 2002 qui avait succédé à Monseigneur Jean Zoa, originaire de la lekié, région du Centre.
Monseigneur Victor Tonyé bakot qui vient de rentrer d’europe où il serait allé rencontrer quelques relations à l’effet de dit-on, profiter pour crier son infortune et faire cas auprès de ces soutiens, les persécutions dont il semble faire actuellement l’objet, pourrait-il se soustraire à la Justice ? Dans certains milieux, on pérore sur les prochains ennuis judiciaires de l’ancien Archevêque métropolitain de Yaoundé dont on dit qu’il aurait placé des fonds quelque part dans un « paradis » fiscal insoupçonné, dit-on, la Mauritanie.
Info ou intox ?
Selon certaines sources, la cause du Prélat aurait déjà entendue s’il n’avait été qu’un simple laïc, justiciable comme les autres, Inspecteurs principaux des Impôts (Polycarpe Abah Abah,) Ingénieurs de Génie Civil (Alphonse Siyam Siwé), les administrateurs civils principaux, les hommes de loi (Me lydienne Yen eyoum), et autres anciens administrateurs et directeurs généraux des entreprises publiques (Yves Michel Fotso, Ngamo Hamani) qui, intéressés par les institutions judiciaires, sont passés par la case prison.
Installé à la tête de l’Archidiocèse de Yaoundé contre l’avis des autochtones, semble-t-il, Victor Tonyé bakot aurait été coopté par l’Archiduc de Ngompem, louis Yinda, membre titulaire élu du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), inamovible directeur général de la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), très influent au Palais de l’Unité de par ses attaches au niveau du Saint Siège d’où il a reçu la reconnaissance de Jean-Paul II, récemment canonisé. A son avènement à la tête de l’Archevêché, beaucoup d’espoirs avaient été placés en lui.
Très rapidement, selon des sources documentaires, la situation financière au sein de l’archevêché qui avait entretemps fini par exaspérer le Vatican et dont ses prélats avaient fini par avoir mauvaise presse était devenue très critique tant et si bien que 5 ans plus tard, elle accusait un endettement de quelque 6 milliards de F Cfa. Etoudi avait dû voler au secours du Prélat pour annuler une dette de 500 millions de F Cfa contractée par l’Archidiocèse auprès de la Société nationale des hydrocarbures (Snh) que dirige Adolphe Fridolin Moudiki elamè.
En dépit de cette mansuétude gouvernementale, la trésorerie de l’Archevêché a continué à piquer du nez, et il avait alors été contraint de placer certains de ses biens immobiliers sous régime d’hypothèque à hauteur d’1,5 milliard de f Cfa. Mais la gabegie n’avait pour autant pas pris fin.
La plus criarde aura été la construction des deux clochers de la Cathédrale Notre Dame des Victoires de Yaoundé d’un coût global de 191 millions de F Cfa. Des mesures jugées alors impopulaires prises par Victor Tonyé bakot, et sa confiance unique en des personnes de sa tribu avaient été vertement critiquées, à l’instar de sa décision de faire payer un loyer aux principaux établissements secondaires de Yaoundé. Le denier du culte était passé de 6000 à 12.000 F Cfa
Source: camer.be
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