L'enquête a déterminé que l'attaque s'est déroulée à une heure de
pointe où affluent la communauté occidentale vivante à Djibouti au
restaurant la Chaumière, place du 27 juin, en plein centre-ville. Un
lieu très côtoyé par les touristes ou les ressortissants
étrangers.Dans le passé, Djibouti a été secoué par deux attentats. Le
18 mars 1987, qu'il y eut l'attentat au café de l'Historil avec 11
morts, puis en 1990 celui du Café de Paris avec 1 mort. Aujourd'hui,
avec le restaurant La Chaumière, on dénombre trois morts avec
plusieurs blessés. Néanmoins la solidarité et le patriotisme de
nombreux djiboutiens ne s'est faite pas attendre. Une chaîne de
mobilisation, initiée par les jeunes démocrates de la FDDE, s'est
aussitôt mise en place sur les réseaux sociaux. Sur un autre registre,
l'opposition djiboutienne reste, quant à elle, silencieuse face à
l'élan de solidarité et à la condamnation de l'attentat qui, selon des
figures de l'opposition, est orchestré par le gouvernement djiboutien.
Un premier bilan de l'attentat terroriste qui a visé, hier soir vers
20 h (17h00 GMT), un restaurant de la place du 27 juin, dans le
centre-ville, appelé " La Cha
ntérieur dans lequel il livre les premiers éléments d'observation et
d'analyse de l'enquête.
En effet, selon la même source, l'enquête a déterminé que les trois
morts seraient composés de deux kamikazes d'origine somalienne dont un
homme et une femme voilée. Quant aux blessés, quatre sont gravement
atteints lors de l'explosion.
L'enquête a également déterminé que l'attaque s'est déroulée à une
heure de pointe où affluent la communauté occidentale vivante à
Djibouti au restaurant la Chaumière, place du 27 juin, en plein
centre-ville. Un lieu très côtoyé par les touristes ou les
ressortissants étrangers.
Toujours selon la même source, après l'explosion, les forces
nationales de sécurité ont aussitôt investi les lieux et procédé au
bouclage du secteur. "Un périmètre de sécurité a immédiatement été
établi et la situation vite mise sous contrôle. Une enquête a dans la
foulée été ouverte pour établir toute la lumière autour de cet
attentat, " peut-on lire dans le communiqué.
Bien que l'attentat n'a pas été encore revendiqué mais la thèse d'un
attentat suicide perpétré par la milice terroriste d'Al-Shebab est
retenue pour l'heure.
Rappelons dans cette optique que Djibouti, ancienne colonie française,
abrite la plus grande base militaire française en Afrique, ainsi
qu'une base militaire américaine importante, où des opérations
antiterroristes sont menés au Yémen comme en Somalie. Le pays assiste
aussi à la force africaine en Somalie avec l'envoie de contingent
militaire djiboutien.
Pour sa part, le ministre des Finances, Ilyas M. Dawaleh, a, sur son
compte Twitter, a rappelé que " les djiboutiens ont toujours su rester
unis et ensemble, et resteront debout face à l'ennemi", en poursuivant
d'un autre twitter, " Djibouti restera toujours un Havre de paix".
M. IIlyas Moussa Doualeh a appelé à rester vigilants et unis face à un
tel acte de barbarie, tout en soulignant que Djibouti "vient de
connaître sa première attaque terroriste de ce genre" où des Kamikazes
se font exploser.
Dans le passé, Djibouti a été secoué par deux attentats. Le 18 mars
1987, qu'il y eut l'attentat au café de l'Historil avec 11 morts, puis
en 1990 celui du Café de Paris avec 1 mort. Aujourd'hui, avec le
restaurant La Chaumière, on dénombre trois morts avec plusieurs
blessés.
Néanmoins la solidarité et le patriotisme de nombreux djiboutiens ne
s'est faite pas attendre. Une chaîne de mobilisation, initiée par les
jeunes démocrates de la FDDE, s'est aussitôt mise en place sur les
réseaux sociaux avec la création d'une page, dont on dénombre déjà 600
personnes en peu de temps : Soutien aux victimes de l'attentat à la
Chaumière sur le sol djiboutien.
Sur un autre registre, l'opposition djiboutienne reste, quant à elle,
silencieuse face à l'élan de solidarité et à la condamnation de
l'attentat qui, selon des figures de l'opposition, est orchestré par
le gouvernement djiboutien.
D'après le Secrétaire général de la FDDE, M.Mohamed Ali, "la bassesse
de l'esprit de l'opposition est au haut point que ce n'est pas la
peine d'attendre quoi que ce soit de l'opposition. Dans le passé, elle
prenait parti avec l'Érythrée; hier encore, elle cautionnait les
lynchages d'hommes et femmes en faisant le silence radio, allant pour
certain parti d'opposition de cliquer un "like" avec la page de la
RID. Aujourd'hui elle affirme que l'attentat à la Chaumière est
manigancé par l'exécutif djiboutien, il est à se demander jusqu'à où
ira-t-elle l'opposition pour faire la politique de la terre brûlée à
Djibouti ?".
Une dure vérité qui demande une réponse !
Source; http://tiny.cc/97dfgx
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